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L’historien africain-guyanais Ivan Van Sertima nous apprend que le taux de mortalité par césarienne en Europe était de 100% jusqu’à ce que les anglais se rendent en 1881 en Afrique australe. Ils y ont observé les césariennes que les africains pratiquaient, en anesthésiant partiellement la malade, qui était consciente pendant la chirurgie. Ils ont importé ces techniques chez eux.
Ce système de spécialisation dont Diop parle persiste encore aujourd’hui en Afrique noire. Dans la localité où j’ai grandi, les anciens me l’ont décrit avec précision. Il n’y avait pas d’école de médecine, la transmission du savoir se faisait comme pour toute connaissance en Afrique, par initiation. Un praticien vieillissant choisissait une personne à qui il confiait tous ses secrets et la médecine se transmettait ainsi.
Sources : http://
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